Ce billet fait partie d’une série de billets sur les nouveautés des versions Five et Cloud, mises à disposition en octobre 2017.
Il y a un peu plus d’un an la console d’administration de K2 entamait sa mue. Aujourd’hui, si on remarque que le site s’est paré d’une couleur plus claire, les fonctionnalités que vous connaissiez sont toujours là. Cependant, quelques nouveautés font leur apparition et nous allons les aborder dans ce billet.
Au sommaire :
- le menu “Mobile”,
- le menu “Licenses”,
- le menu “Designer”,
- les parties “Custom Workspaces” et “Workspace Settings” du menu “Users”,
- la partie “APIs” dans le menu “Integration”,
- les options du menu “Categories”.
Nous partons du principe que vous êtes déjà coutumiers de ce qu’on peut faire depuis le K2 Management Site. Si ce n’est pas le cas, je vous propose de vous rapporter à un billet précédent, qui a été publié lors de la sortie de la version 4.7. Nous allons donc nous attacher uniquement au nouvelles options/fonctionnalités de la version proposée avec K2 Five et K2 Cloud. Nous allons y aller crescendo, ce qui correspond donc à aller de bas en haut dans le menu.
Le menu “Mobile”
Les administrateurs de K2 peuvent à présent définir si la connexion (en mobilité) de l’utilisateur est conservée ou non lorsque l’application est réduite ou la durée de rétention de cette connexion le cas échéant. Ils peuvent aussi définir l’adresse du lien de feedback.

Le menu “Licenses”
Pas de gros changement ici, si ce n’est qu’à présent il n’y a plus qu’une seule licence à paramétrer (et non pas une pour blackpearl et une pour smartforms comme précédemment).

Le menu “Designer”
Benjamin en a parlé dans son billet, vous n’avez pas pu le louper, une des principales modifications de K2 Five/Cloud est la mise à disposition d’un outil de conception (Workflow, formulaires, SmartObjects) uniquement en mode client léger. Afin de définir qui peut accéder ou non à cet outil de conception, il n’y a plus besoin de mettre en place des règles IIS, il suffit juste de le déterminer sous ce menu. Il y a un principe d’héritage lorsqu’on utilise les groupes, il est donc possible d’autoriser l’accès à toutes les personnes d’un groupe sauf certaines.

Dans le cas de ma configuration, voici le message qu’Igor aura lorsqu’il essaiera d’accéder à l’outil de conception :

NB : afin de pouvoir utiliser l’outil de conception de workflow, il faut également avoir le droit d’export au niveau des “Server Rights” du “Workflow Server”.
Les parties “Custom Workspaces” et “Workspace Settings” du menu “Users”
La semaine dernière, nous vous présentions le nouveau K2 Workspace. Nous vous parlions de la possibilité de créer ses propres espaces de travail (par département par exemple). Voici donc le menu d’administration qui permet de créer et gérer ses différents Workspaces existants. Nous consacrerons surement un article plus détaillé sur les options de création dont vous disposez.

L’administrateur peut également paramétrer les actions qui sont disponibles pour l’utilisateur lorsqu’un formulaire est affiché dans la zone principale du K2 Workspace.

La partie “APIs” dans le menu “Integration”
Les données des workflow et des smartobjects sont maintenant uniquement accessibles via oData ou via les services REST de K2 (Cloud oblige). Les autres méthodes d’accès existantes dans les versions précédentes (webservices SOAP ou API.net) sont dépréciées. Pas d’inquiétude si vous faîtes unemise à jour d’une plateforme existante, vous aurez toujours accès à ces méthodes, mais il faudra penser à utiliser à présent les nouvelles.
L’administrateur dispose alors de différentes options de configuration permettant d’activer ou non l’accès uniquement à certains objets (et pas nécessairement tous). Ceci était techniquement disponible dans les versions précédentes, mais nécessitait la modification manuelle de fichiers de configuration. Cloud oblige, les choses sont simplifiées et la version on-prem en bénéficie.


Les options du menu “Categories”
Dernier point, et non des moindres, l’Authorization Framework (vous en avez peut-être entendu parler sous le nom de Category Security). Le menu “Categories” était déjà existant puisqu’il permettait de lister tous les objets existants et déployés sur la plateforme, cependant, à présent chaque objet (un répertoire, un formulaire, une vue, un smartobject) dispose d’une partie “Security” qui permet de définir qui a accès à cet objet dans un contexte de conception ou dans un contexte d’exécution. En d’autres termes, il est possible de choisir les utilisateurs qui pourront modifier l’objet et accessoirement ceux qui pourront l’exécuter. Il a son billet dédié.
Pour les entreprises où la conception des applications K2 est décentralisée sur plusieurs services, cela a un intérêt fort, car cela permet à ses différentes équipes de n’agir que sur une partie des objets K2.
Comme pour les permissions d’accès au Designer, il y a un système d’héritage Groupes/Utilisateurs afin de gérer des exclusions. Voici à quoi cela ressemble pour la configuration sur un répertoire complet :

Nous retrouvons le même principe au niveau d’un objet, qui évidemment hérite des permissions de l’objet parent. On y retrouve aussi des fonctionnalités qui vont permettre d’exécuter cet objet dans des configurations particulières (sans caching par exemple) :

Voilà pour ce billet. Si vous souhaitez plus de détails sur ces fonctionnalités, n’hésitez pas à vous référer à la documentation K2.
Happy K2ing!
Et à très bientôt pour un article sur d’autres fonctionnalités de la vague K2 Five.
Ce billet fait partie d’une série de billets sur les nouvelles fonctionnalités de K2 Five/Cloud. Les autres articles disponibles sur ce sujet sont :
- Résumé macroscopique des nouvelles fonctionnalités.
- Le nouvel outil de conception.
- Le nouveau Workspace.
- L’authorization framework.
- Les étapes de création d’un tenant K2 Cloud.
- Accès aux smartstarters.
- Les Application Wizards.
- Créer un Workspace personnalisé.
- Le nouveau connecteur SalesForce.
- D’autres à venir…
5 thoughts to “K2 Five – Le K2 Management”